Encore une analyse intéressante sur ces nouvelles technologies qui incitent les agriculteurs à s’éloigner de la nature et de la maitrise de leur outil de travail.
Ce texte comporte néanmoins des lacunes, dont la plus remarquée est le manque d’objectif chiffré quant à la baisse de la consommation de viande. La SNANC appelle seulement à atteindre "une consommation suffisante et limitée de poisson et de produits laitiers et une limitation de la consommation de viande et de charcuterie, en particulier importées". Ce point nous rappelle le reproche que l’on fait au PAT du Grand Annecy de ne fixer aucun objectif chiffré sur l’Autonomie Alimentaire de notre (…)
D’après les opposants, le projet va condamner 150 hectares de terres agricoles. "Ça va nous ramener encore plus de monde, plus de béton et plus d’expropriations agricoles. C’est pour l’immobilier qu’ils font ça, ils veulent de l’argent", estime par exemple David qui cultive des céréales sur le tracé de l’autoroute.
Pour que les pratiques agricoles évoluent, il faut que les agriculteurs aient intérêt à le faire et soient accompagnés dans ces changements. Certains pays ont ainsi réussi à réduire durablement l’utilisation de pesticides et engrais chimiques. Voici comment.