Et si on décidait collectivement de ce qu’est une alimentation de qualité ? On cotiserait selon nos moyens pour financer sa production, et on en bénéficierait selon nos besoins.
Lors d’un vote solennel, l’Assemblée nationale a adopté de justesse (à 40 voix près) la Loi de souveraineté en matière agricole et renouvellement des générations. De nombreux articles ont entraîné des débats houleux qui vont désormais se poursuivre au Sénat. Diagnostic climatique, sanctions en cas d’atteintes à l’environnement, objectifs de surfaces bio… : voici les cinq mesures à retenir.
La moitié des fruits cultivés en France comporte au moins un pesticide potentiellement dangereux. Derrière les enjeux de transparence sur ces produits et leur utilisation, on retrouve des obstacles de nature légale, administrative, technique et sociale. Des voies d’amélioration sont toutefois possibles, du champ jusqu’à l’assiette, pour le riverain d’exploitation agricole comme pour le consommateur. Photo de Mirko Fabian sur Unsplash
"Outre sa fonction de support de production, le sol remplit de nombreuses fonctions environnementales, comme celle de filtre et de lieu de stockage de l’eau et des polluants. La fertilité des sols, la qualité de notre alimentation, la pureté de l’air et la qualité de l’eau sont liées à un bon fonctionnement du sol et à l’activité des organismes qui le peuplent. Voilà des raisons simples pour lutter contre l’artificialisation des sols !!!