Et si on décidait collectivement de ce qu’est une alimentation de qualité ? On cotiserait selon nos moyens pour financer sa production, et on en bénéficierait selon nos besoins.
De manière générale, les changements de l’assiette jouent un rôle majeur dans l’empreinte environnementale individuelle. Les efforts qui ne seront pas faits via une assiette plus sobre seront à reporter sur d’autres secteurs.
C’est un document très intéressant que viennent de rédiger et publier le Secours catholique, le réseau CIVAM, Solidarité paysanne et la Fédération française des diabétiques et qui fait le point sur les fameux couts cachés induits par la production alimentaire actuelle. Bonne lecture !
Les zones humides sont au cœur d’un bras de fer règlementaire entre scientifiques et syndicats agricoles. La FNSEA a mené un lobbying intense afin d’amoindrir leur protection. Marais, tourbières... ont pourtant un rôle essentiel.