Et si on décidait collectivement de ce qu’est une alimentation de qualité ? On cotiserait selon nos moyens pour financer sa production, et on en bénéficierait selon nos besoins.

Une terrible reculade environnementale chorégraphiée avec brio, sous l’œil bienveillant de notre Président de la République, par notre tout nouveau Premier Ministre, son ministre de l’agriculture et le président de la FNSEA.
A l’heure des hommages adressées à Robert Badinter, il est clair que nos responsables sont loin d’avoir le courage politique qu’il a montré toute sa vie.
"Ce quinquennat sera écologique ou ne sera pas" avait dit notre président lors de sa réélection.....quelle honte (...)

Il y a la question du revenu, mais aussi celle des normes environnementales. Alors que les agriculteurs manifestent partout en France, leur mécontentement monte contre l’écologie, devenue pour certain un "bouc-émissaire" de la crise agricole. Or ce "n’est pas au Pacte Vert" qu’il faut s’en prendre mais à la PAC, la politique agricole commune.
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