D’après les opposants, le projet va condamner 150 hectares de terres agricoles. "Ça va nous ramener encore plus de monde, plus de béton et plus d’expropriations agricoles. C’est pour l’immobilier qu’ils font ça, ils veulent de l’argent", estime par exemple David qui cultive des céréales sur le tracé de l’autoroute.