Un article de Samuel Bonvoisin écrit en 2020 remet l’église au milieu du village...
La moitié des fruits cultivés en France comporte au moins un pesticide potentiellement dangereux. Derrière les enjeux de transparence sur ces produits et leur utilisation, on retrouve des obstacles de nature légale, administrative, technique et sociale. Des voies d’amélioration sont toutefois possibles, du champ jusqu’à l’assiette, pour le riverain d’exploitation agricole comme pour le consommateur. Photo de Mirko Fabian sur Unsplash
Le « bio » : une étiquette clairement identifiable et souvent rassurante. Pourtant, les réalités derrière ce label mondial divergent. Alors que les normes en Europe sont plutôt strictes, elles sont bien plus souples en Amérique du Nord. Dans les pays émergents, ce sont les contrôles qui sont inégaux.
A prime abord on pourrait croire que rien n’a changé dans le gouvernement Bayrou pour Agnès Pannier-Runacher qui reste à son poste. Mais le diable se cache dans les détails. La ministre de la Transition écologique perd l’énergie, qui repart à Bercy. Quant au climat, le terme a disparu de son titre.