En ce début novembre et pendant la COP 26, la question posée par cet économiste trouve toute sa place. Assez du PIB !!!
Dépénalisation de certaines atteintes à l’environnement, réautorisation de pesticides et souveraineté alimentaire érigée au rang "d’intérêt fondamental de la Nation", la transition agricole passe davantage par une dérégulation massive qu’une réflexion poussée pour aller vers des pratiques plus durables, résilientes et rémunératrices pour les agriculteurs.
La souveraineté alimentaire est ainsi devenue, depuis la crise du Covid et la guerre en Ukraine, l’argument d’autorité permettant de poursuivre des pratiques qui génèrent des catastrophes écologiques et humaines majeures. Il existe pourtant d’autres voies.....
Face aux sécheresses qui s’intensifient, Marlène Vissac développe une pratique « hydronomique ». À contre-courant des pratiques intensives, l’éleveuse de brebis plante des arbres et enrichit ses sols.