En ce début novembre et pendant la COP 26, la question posée par cet économiste trouve toute sa place. Assez du PIB !!!
Et si on décidait collectivement de ce qu’est une alimentation de qualité ? On cotiserait selon nos moyens pour financer sa production, et on en bénéficierait selon nos besoins.
« C’est une excellente nouvelle », selon la députée écologiste Marie Pochon. Après avoir supprimé un objectif chiffré pour l’agriculture bio, le gouvernement a rétropédalé, le 21 mai. « Je plaide la bonne foi et le droit à l’erreur, d’ailleurs collective », a reconnu le ministre de l’Agriculture, Marc Fesneau.
La moitié des fruits cultivés en France comporte au moins un pesticide potentiellement dangereux. Derrière les enjeux de transparence sur ces produits et leur utilisation, on retrouve des obstacles de nature légale, administrative, technique et sociale. Des voies d’amélioration sont toutefois possibles, du champ jusqu’à l’assiette, pour le riverain d’exploitation agricole comme pour le consommateur. Photo de Mirko Fabian sur Unsplash