« Les pouvoirs publics doivent encourager la diversification et les installations en polyculture- élevage sur tout le territoire ».
La moitié des fruits cultivés en France comporte au moins un pesticide potentiellement dangereux. Derrière les enjeux de transparence sur ces produits et leur utilisation, on retrouve des obstacles de nature légale, administrative, technique et sociale. Des voies d’amélioration sont toutefois possibles, du champ jusqu’à l’assiette, pour le riverain d’exploitation agricole comme pour le consommateur. Photo de Mirko Fabian sur Unsplash
« J’ai aussi appris que ni les espaces naturels, ni les ressources naturelles ne sont gratuits et inépuisables »..... Mais, en même temps, « on constate que la réglementation enserre les maires dans un carcan. » C’est ce MAIS qui casse tout....
Les objectifs français de développement des surfaces en bio vont disparaître du code rural et les néonicotinoïdes ("pesticides tueurs d’abeilles") pourraient être réintroduits en France : les organisations de la société civile en appellent au soutien des citoyens avant un vote décisif sur la loi d’orientation agricole.