Et si on décidait collectivement de ce qu’est une alimentation de qualité ? On cotiserait selon nos moyens pour financer sa production, et on en bénéficierait selon nos besoins.

C’est une première. La famille Grataloup, dont la mère Sabine avait utilisé du glyphosate dans son centre équestre lorsqu’elle était enceinte, va être indemnisée. Les malformations de Théo, son fils désormais âgé de 16 ans, pourraient bien être liées à l’utilisation de l’herbicide, selon les experts du Fonds d’indemnisation des victimes de pesticides.

Face à l’inflation, « plutôt que de repenser le système alimentaire dans son ensemble, l’État va chercher de l’argent à droite à gauche pour faire pansement », dénonce la sociologue Pauline Scherer.