La Confédération paysanne et plusieurs partis de gauche revendiquent ce principe qui permettrait aux producteurs d’inverser le rapport de force avec les industriels et les distributeurs lors des négociations.
Même à très faible dose, une grande partie des pesticides a un effet délétère sur les insectes. C’est la conclusion d’une étude publiée le 24 octobre dans la revue Science.
La moitié des fruits cultivés en France comporte au moins un pesticide potentiellement dangereux. Derrière les enjeux de transparence sur ces produits et leur utilisation, on retrouve des obstacles de nature légale, administrative, technique et sociale. Des voies d’amélioration sont toutefois possibles, du champ jusqu’à l’assiette, pour le riverain d’exploitation agricole comme pour le consommateur. Photo de Mirko Fabian sur Unsplash
La proposition de loi de Laurent Duplomb sera débattue au Sénat les 27 et 28 janvier. Encourageant notamment pesticides et mégabassines, ce texte est un désastre pour l’écologie.