Un article très instructif de Chloé Rivière interviewée dans le magazine de 1+Bio.
De l’autre côté du miroir d’eau paisible des étangs, on rencontre en réalité de véritables « fantômes moléculaires » laissés par les pesticides utilisés pour l’agriculture.
Nos élus sont régulièrement informés par les scientifiques du dangereux déclin de cette biodiversité, et des façons de le déjouer. Mais que font-ils ? Sans notre mobilisation, changeront-ils, vu l’ampleur des intérêts économiques en jeu ?
« Lors des inondations de Valence, de nombreux experts avaient ainsi montré que l’artificialisation des milieux avait largement accentué les phénomènes de crues observés et les dégâts engendrés par les inondations. » On est loin d’être convaincus que nos élus ont compris le message !!! Photo de Chris Gallagher sur Unsplash